Tuesday, 29 July 2014

L'émigration des albanais

L'exode des albanais

  
 Pendant  les années 1990, quelques mois après la chute du mur de Berlin, symbole parmi les symboles, des exodes massifs vers l'Ouest ont marqué en Albanie le début de mouvements semblables à ceux qu'avaient connu les autres pays d'Europe centrale et orientale. Les personnes se dirigeront principalement vers l'Italie, la France et l'Allemagne après avoir gagné le statut d'émigrants politiques. A la fin de l’année, environ 3 000 citoyens albanais d'origine grecque passent illégalement la frontière gréco-albanaise et autres 20 000 personnes embarquent pour l'Italie. En fait, l'Italie doit accueillir 18 000 personnes, qui seront ensuite rapatriées par voies aérienne et maritime par les autorités italiennes.

Cet image montre le premier exode des albanais vers l’Italie après environ cinquante ans de dictature, pendant ce que, l’Albanie a été déclaré le premier pays complètement athéiste au monde.  

Le port de Vlore (au sud)


Après 1991, aucun autre mouvement de cette ampleur n'est noté, mais l'hémorragie continue à un rythme plus lent et le jeunes sont généralement âgées de moins de 30. Le départ pourrait être lourd de conséquences économiques, politiques et sociales pour l'Albanie.
En fait, une autre période d’émigration des albanais, mais cette fois n'est pas une exode, a passé pendant  l’année 1997/8 quand le gouvernement, prenant note de la faillite de deux des principales «sociétés d'investissement», a interdit toutes les sociétés pratiquant les systèmes de pyramides, présentes aussi dans les Etats-Unis pendant l’époque de développement.  C'est le 15 janvier 1997, quand pour la première fois, le peuple attaque les bâtiments publics comme signe de révolte contre l’état après avoir perdu l’argent investi dans ces sociétés. En particulier, des manifestants ont attaqué une caserne de l'armée albanaise à Vlore et se sont emparés de centaines d'armes sans que les soldats ne résistent. Les habitants de Vlorë sont devenues active, et c'est parce qu'on voulait les faire taire par les armes qu'ils ont commencé à prendre des armes. Et à la double surprise du gouvernement et du monde, les militaires de Vlorë semblaient plutôt d'accord avec les insurgés, se laissant dépouiller sans résistance. Le 28 février, sur Vlore est décrété l'état d'urgence. La même chose a continué développer dans toute l'Albanie.

C'est exactement pendant ce période que mon père a décidé d’émigrer en Italie parce qu'il ne voyais pas une future pour sa famille. Nous sommes partis le 20 Mars 2008 du port de Durres, et sommes arrivés à Bari, en Italie du sud, le jour suivant, où il neigeait. Pour nous, et pour mil des albanais, l'Italie était 'la terre promise'.



Merci pour votre attention :)

Luela






Wednesday, 16 July 2014

La cuisine traditionnelle albanaise

C'est délicieuse

Aujourd’hui, on va faire un tour de dégustation de la cuisine albanaise. Je voudrais illustrer les plats typiques de mon pays, et souligner ce quels sont les plats que j’aime plus.  
En général, on peut dire que la cuisine albanaise est riche et variée, où on trouve une influence de la cuisine ottomane qui a influencé la plupart des cuisines en Balkans, en particulier celle de la Turquie et la Grèce, qui sont probablement le plus connus. Ça est dû à la conquête de l’Albanie par les ottomanes pour 400 ans. Comme la cuisine grecque, elle ne connait pas les épices fortes mais utilise les herbes méditerranéennes, qui rendent les goûts plus raffiné et européenne.
Le repas principal des albanais est le déjeuner, habituellement accompagné d'une salade de légumes, comme des tomates et des concombres, mais on va aussi des poivrons verts, des olives et bien sûr de l'huile d'olive et du sel. Le plat principal que toutes les familles consument habituellement  est avec des légumes et de la viande, similaire à une soupe, et son nom est ‘gjelle’.

Donc, le plat le plus connu et le plus apprécié est le ‘gjelle’ parce qu’est un plat complète. Les albanais mangent le gjelle toujours avec le pain, qui ne manque jamais sur la table. Dans la gjelle  on va la viande rouge et les légumes sont normalement les pommes de terre, haricolts, et si vous entendez gjelle me turli signifie que dans ce plat il y a une mélange de courgettes et des aubergines.




 D’habitude le gjelle est accompagné de la salade. En été est plus courant manger le ‘tarator’, que j’adore, et est très facile faire. Elle est simplement une ‘soupe’ de yaourt froide avec de concombre, de l’ail, de l’huile d’olive et du sel. 
Voila!




Un autre plat, avec lequel j’ai grandi, s’appelle byrek.  Le byrek est comme une pâtisserie avec du fromage (ou yaourt), des épinards (c’est quel ma maman cuisine plus souvent), de la viande, des haricots, et parfois aux pommes de terre. Elle est à base de pâte feuilletée cuits au four. Il faut de temps pour cuisiner ça parce que il faut faire toutes les feuilletés une par une.
Byrek aux  épinards...



Pour finir, je voudrais vous parler de un dessert, que j’aime beaucoup et dans ce moment j’en rêve. Il s’appelle bakllave. La tradition veut que la bakllave on mange dans le veille de la Nouvelle Année. Le bakllave est très compliqué à faire parce que il faut deux ou trois jours pour la préparation.  Comme il est fait de pâte feuilletée (qui sont sucrés), quand la femme fais le feuille, elle laisse que ils se sec, et après elle les met ensemble. Chaque vingt feuille on va des noix, et seulement à la fin sur toute la plaque on va un type de sirop que s’appelle ‘sherbet’ (d’eau chaud avec sucre). C’est vrai qu’il est un dessert difficile, mais la chose intéressante est que les femmes cuisinent le bakllave avec les voisins ou les cousins, et c’est une manière de passer le temps ensemble parlant.  Les petits et les grands aiment ce désert. Une raconte amusant de ma famille est que chaque année, ma maman prépare le bakllave à l’ avance, et elle nous dit que nous ne pouvons pas commencer à le manger avant le jour du veille, mais toutes les fois c’est la même histoire; le bakllave est fini avant le Nouvelle Années. J   



J’espère que vous avez apprécié ce part de mon blog.

A bientôt.

Luela



Tuesday, 15 July 2014

La chanson populaire albanaise

Dans ce blog, je voudrais me concentrer sur la tradition musicale albanaise, spécialement je vais parler de la chanson ‘populaire’ (en albanais on dit kenge popullore). J’ai choisi de discuter sur ce thème parce que j’aime cette tipe de chanson et ma maman m’a éduquer pendant j’étais petite.
Donc, avant de commencer, je voudrais dire qu’il y a une différence énorme entre la musique que s’écoute dans le nord, en sud, e dans le centre de l’Albanie. Les mêmes différences que il y dans la nourriture, les traditions, les dialectes et les vêtements.
En particulier, en Albanie il y a essentiellement trois catégories de chanson:

1.    La musique polyphonique
2.    La chanson (et la danse) populaire
3.    La musique moderne (électronique/ musique légère)

La musique polyphonique
La musique polyphonique traditionnelle albanaise se répartit en deux grands groupes stylistiques: celui des Gheg du Nord de l’Albanie, d’une part, et celui des Tosk et des Labs qui vivent dans le sud du pays, d’autre part. Le terme iso s’apparente à l’ison de la musique liturgique byzantine et désigne le bourdon qui accompagne le chant polyphonique. Principalement interprétée par des hommes, cette musique accompagne traditionnellement de nombreux événements sociaux comme mariages, funérailles, fêtes de la moisson, célébrations religieuses et festivals tels que de la musique populaire de Gjirokastra (une ville dans le sud).
Cependant, la tradition subite les effets de la pauvreté, de l’absence de protection juridique et du manque de soutien financier aux praticiens, compromettant ainsi la transmission du vaste répertoire de chants et de techniques. L’exode rural des jeunes vers les grandes villes et à l’étranger pour trouver du travail constitue une autre menace. Dans ce contexte, la transmission de cette tradition est aujourd’hui davantage assurée par des artistes populaires traditionnels que par la structure familiale.

Je vais vous montrer un exemple de la musique polyphonique et qu’a été avec les commentaires en français.


Je ne suis pas passionnée de ce type de musique, mais je pense c'est une tradition très importante que nous distingue d'autres pays. 

La musique populaire
Cette est ma musique préférée. C’est la musique que nous écoutons et nous chantons pendant on fait le ménage, pendant les fêtes de tous les genres, et elle est la musique que le touriste écoute dans la rue parce que les personnes la met dans la voiture, dans les magasins etc. 
Généralement les paroles de la chanson parlent de la famille, de l’amitié, des relations entre l’homme et la femme, et la chose intéressante est que ces chansons racontent beaucoup sur les traditions et la culture albanaises. En autres mots, elles donnent des ‘leçons de vie’, comme par exemple comment respecter la famille, comment être une bonne fille (pour la femme), quels sont les responsabilités dans la vie etc.  Il y a une liaison très forte entre la chanson populaire et le mariage. Voyez le vidéo de une chanteuse très célèbre, qui s’appelle Valbona Halili (le dialecte dans le qu’elle chante est de centre de l’Albanie) 



La musique moderne
Je n’aime bien pas la musique moderne albanaise parce qu'elle a beaucoup d'influence par la musique d'autres pays. Cependant, il y a bien sur des artistes valables mais en général la musique moderne est une reproduction de la chanson internationale. C’est-à-dire que n’est pas originelle.
Je vous donner une exemple de une chanson récente que a été accueilli avec grande enthousiasme. 
'Ngjyra e kuqe' (le couleur rouge) par Adrian Gaxha. 


À vous la conclusion...:)

Merci!
Luela



Wednesday, 9 July 2014

Le mariage en Albanie

Le rite du mariage albanais

Dans la langue albanaise le mot ‘mariage’ se traduit comme dasëm, qui n’exprime pas seulement une célébration, mais il y a une réelle tradition qui est très forte, avec des caractéristiques parfois d’un rite. C'est important dire que aujourd’hui le mariage se développe de manière plus moderne, comme dans les pays européens, mais dans les petites villes ou dans la campagne il y a encore des traditions radicaux. 
La fête (que s’appelle dasma) peut durer trois jours comme elle pourrait durer 1 semaine. Aujourd’hui est courant commencer la fête le vendredi jusqu’à le dimanche soir. Mais c’est comme ça pour une raison particulier. Le vendredi est le jour pour les voisins et les amis, et n’est pas formelle, donc est un jour amusant. Le samedi, nous disons, qu’est la fête de l’épouse. Donc, la famille du marié doit aller à la maison de l’épouse et plus tard au restaurant où s’organise la fête que la famille de l’épouse a organisée. Le dimanche, c’est le contraire: cette fois est la fête du marié. Donc, le dimanche matin étant le jour où on allait chercher la mariée, que veux dire que des membres de la famille du garçon vont à la maison de la fille, et la ‘prend’. Quand l’épouse monte sur la voiture on jette le riz avec des bonbons et l’argent. Pendant le jour, le couple vais à quelque place spécial ou font des photos, et après l’épouse se prépare pour le soir. Elle doit être très belle pour la fête finale. C'est courant aussi que l’épouse change sa robe de mariée chaque jour.   Pendant la soirée au restaurant on mange et on boit beaucoup et tous  dansent sans arrêt. Le lundi après, c’est le jour où elle exposait sa dote aux femmes, amies et voisines de la famille du marié. Elle servait aussi le café aux invités et recevaient de l'argent sur son plateau.

En albanais, l’épouse s’appelle nuse, et le marié s’appelle dhendri.
Le premier vidéo montre des particularités que j'ai décrit ci-dessus. On réfère au mariage moderne.



Le deuxième vidéo est un vidéoclip musical de comment est la typique tradition de mariage, en particulier de l'Albanie central. Les chansons que vous écoutez sont les typiques chansons que ne manquent pas dans toutes les fêtes. Le paroles parlent de l’épouse et de ses engagement, du marié, de la famille, et de la vie future ensemble. 


J'ai grandi avec cette tradition, et ma maman m'a enseignée comment l’épouse doit danser et comporter. C'est pour cette raison que je vais faire mon mariage dans mon pays, aussi parce que est très palpitant pour moi et amusant.  

Merci!

Luela


Friday, 4 July 2014

Les costumes traditionnels albanais

Les costumes typiques albanais



Les costumes populaires ne sont pas uniquement des souvenirs que l'on sort des armoires de temps en temps, mais véritablement des objets de mémoire et de respect pour la culture albanaise et pour la valeur symbolique et identitaire que cela confère à celui ou celle qui porte ce costume. A l'occasion de diverses cérémonies familiales, les jeunes adorent revêtir ces costumes qui font la fierté des familles et de la communauté toute entière.


Les costumes populaires sont différents d'une région à l'autre. Dans le Sud et dans la partie occidentale du pays, on trouve la fameuse ‘’fustanella’’, une jupe portée par les hommes de ces régions, assez semblable à la jupe blanche du costume traditionnel grec. Les costumes du Nord et de la partie montagneuse du centre du pays sont plus lourds à porter, en conséquence des températures basses qui touchent ces régions. On retrouve cependant ce bonnet en feutre blanc, qu'on appelle un qeleshe, porté par les hommes de tout le pays, seule la forme peut différer, passant de pointu à plat sur le crâne.


Les femmes catholiques au nord du pays s'habille d'une manière assez particulière, elles  portent un genre de robe (xhubleta) qui pèse 15 kg. Cette robe est transmise de génération en génération depuis l'époque illyrienne.


Nous pouvons dire qu'en Albanie, chaque village ou gros bourg à son costume. Les costumes albanais présentent des éléments communs avec ceux d'autres peuples. En revanche, d'autres éléments apparaissent tout à fait caractéristiques. Regardez les différent costumes, il y a beaucoup de changement.





Jusqu'à la Deuxième Guerre mondiale, le costume traditionnel était encore la tenue quotidienne de plusieurs Albanais surtout en campagne. Jusqu'à ces dernières années, l'extrême variété de costumes populaires albanais apparaissait à Gjirokastêr, dans le cadre du Festival folklorique national qui avait lieu tous les quatre ans. Ce festival de danses et de chants populaires organisé à la suite d'une rigoureuse sélections opérée à l'échelon local était difficile à mettre en place, et il fut suspendu après les changements politiques de 1990.


J'ai jamais mis un costume traditionnel albanais parce que j'ai déménagé en Italie quand j’étais très petite. Mais, comme je voudrais faire la fête de mon mariage en Albanie, je pense que je vais mettre le costume typique de l'Albanie central, parce que je suis de Tirane, la capital.
Dans le prochain blog je vais parler du mariage en Albanie parce que il y a une tradition très fort et très intéressante. Je voudrais aussi parler de la chanson folklorique parce que il y une liaison avec le mariage. Merci beaucoup!
Luela